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VoiciC’était une attente d’une bonne partie des professionnels de l’immobilier : le relèvement mensuel du taux d’usure. Il sera effectif dès le 1er février 2023, a annoncé la Banque de France, vendredi 20 janvier. Elle a proposé « un ajustement technique » du calcul de ce taux, le taux d’emprunt plafond dans l’immobilier, ce qui devrait faciliter (un peu) l’accès au crédit pour les particuliers. Le taux d’usure plafonne l’ensemble des frais d’un prêt immobilier : taux de crédit pratiqué par la banque, éventuelle commission des courtiers, assurance emprunteur. Son mode de calcul constitue, depuis des mois, dans un contexte de remontée des taux, un obstacle pour nombre d’acquéreurs. le contenu de votre actualité ! Un bol d’air au marché immobilier ? Depuis plusieurs mois, les taux d’intérêt remontent dans le sillage des taux directeurs de la Banque centrale européenne, et plus vite que ce taux d’usure. Rehausser le plafond du taux d’usure peut offrir ainsi un bol d’air au marché : il permet aux banques de prêter plus cher, mais aussi à chaque autre composante du coût du crédit d’être prise en compte sans dépasser le plafond légal. Cela permet, sur le papier, in fine, l’acceptation de davantage de dossiers de demande de crédit. Mais la formule de calcul du taux d’usure, définie par la loi, elle, ne change pas : une moyenne des taux pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois, augmentée d’un tiers. Un déséquilibre dans la répartition des crédits La Banque de France avait remarqué ces derniers mois qu’en fin de trimestre « certains dossiers, dans l’attente de la prochaine hausse trimestrielle significative du taux d’usure », étaient reportés au début du trimestre suivant, créant un déséquilibre dans la répartition des crédits. Pour lisser les relèvements du taux d’usure, le calcul se fera donc tous les mois et non plus tous les trimestres à partir du 1er février et, ce, jusqu’au 1er juillet. Un arrêté doit être publié dans les prochains jours pour officialiser cette mesure.
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Il y a deux ans, la crise du Covid chamboulait le marché immobilier; les différents confinements poussant les Français vers des maisons éloignées des grandes villes. L'actuelle crise de l'énergie semble rebattre une nouvelle fois les cartes. Une étude de Bien'ici pour les Echos montrent que les Français se précipitent moins vers ce type de logements. Philippe de Ligniville, directeur général adjoint de Bien'ici explique aux Echos que dans un contexte de marché qui ralentit, "la baisse de la demande est plus importante pour les maisons que pour les appartements. On revient sur une recherche un peu plus urbaine. Les biens situés plus en périphérie marquent le pas". Ras-le-bol de la voiture Certes, le prix des maisons a nettement augmenté. La Fnaim constate une hausse de 8,5% sur un an. Mais les préoccupations énergétiques, depuis plusieurs mois, prennent de plus en plus d'importance. Les Français veulent des biens avec un DPE correct, en lien également avec la prochaine interdiction de louer des passoires thermiques. Mais surtout, ils réfléchissent un peu plus avant de s'installer en zone rurale. Ils ne veulent plus utiliser la voiture pour n'importe quel déplacement, que ce soit le travail, l'école, les courses ou les activités des enfants. Et comparent les mètres carrés gagnés par rapport aux frais de chauffage. Guillaume Martinaud, président d'Orpi, explique que le Vexin, l'une des régions star après les confinements, perd de son attraction. "Vous y êtes à une vingtaine de minutes en voiture du bout de ligne du RER A. Avec la hausse du prix de l'essence, il y a moins d'acquéreurs".
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Taxe d'habitation sur les logements vacants : date, montant [TAXE D'HABITATION SUR LES LOGEMENTS VACANTS] La taxe d'habitation sur les logements vacants (THLV) est une taxe dont sont redevables les propriétaires d'un logement inoccupé depuis 2 ans. SOMMAIRE Redevable Logement vacant Exonération Prouver l'inoccupation du logement Montant Date Qui est redevable de la taxe d'habitation sur les logements vacants ? Certains propriétaires et usufruitiers possédant un ou plusieurs logements vacants le 1er janvier de l'année d'imposition, sont redevables de la taxe d'habitation sur les logements vacants (THLV), à ne pas confondre avec la taxe sur les logements vacants (TLV). En tant que propriétaire, votre logement est potentiellement soumis à la THLV s'il est inoccupé depuis plus de 2 ans, et situé dans une commune n'appliquant pas de taxe sur les logements vacants (TLV), mais où le maire ou le Conseil intercommunal a instauré la mise en place d'une THLV. L'objectif de cet impôt est de favoriser la réhabilitation, et la remise en location des logements vides pour rendre le marché plus dynamique et répondre à la demande de logement. La mise en place de la taxe d'habitation sur les logements vacants est donc optionnelle, et dépend d'un vote de votre Conseil municipal ou intercommunal. À noter que la taxe d'habitation classique ne s'applique donc pas lorsqu'un logement est inoccupé le 1er janvier. Définition d'un logement vacant Tout logement inoccupé est-il imposable ? Pas nécessairement. Un logement considéré comme vacant est un logement à usage d'habitation, qui offre des conditions de confort relatives à une occupation, comme les équipements sanitaires, l'eau courante ou encore les installations électriques, sans pour autant disposer de meubles ou d'un niveau d'ameublement suffisant pour y vivre. Les résidences justifiant d'une occupation de plus de 90 jours consécutifs au cours de l'année ne sont pas considérées comme des résidences vacantes. De même, les logements étant involontairement inoccupés (échec d'une vente immobilière ou recherche de locataire stérile), ne sont pas renseignés en tant que logements vacants. Enfin, les logements devant subir d'importants travaux pour être habitable, comme une réfection complète du chauffage, ou la remise à niveau complète de l'isolation du logement, n'entrent pas dans cette catégorie. Comment être exonéré de la taxe d'habitation sur les logements vacants ? Il existe 4 cas d'exonération de la taxe d'habitation sur les logements vacants, et vous devez faire parvenir un courrier recommandé au centre d'impôt auquel est associé votre bien immobilier, pour vous affranchir de cette taxe si vous estimez ne pas avoir à la payer. Les cas d'exonération sont les suivants : Si l'inoccupation de votre logement est indépendante de votre volonté, par exemple lors d'une mise en vente ou d'une mise en location infructueuse ; Si votre logement est occupé au moins pendant 3 mois consécutifs durant l'année civile, comme c'est le cas dans le cadre d'une location saisonnière ; Si votre logement nécessite des travaux de rénovation important pour être habitable, le coût des travaux devant valoir pour au moins 25 % de la valeur du bien immobilier ; Si votre logement est déjà soumis à la taxe d'habitation sur les résidences secondaires. Si vous estimez ne pas devoir payer la THLV, vous avez la possibilité de faire une réclamation en adressant un courrier recommandé à votre service des impôts. La date limite pour les réclamations est fixée au 31 décembre de l'année suivante, vous avez donc 1 an pour effectuer votre demande. Déposer votre réclamation ne vous dispense pas de payer votre impôt, vous avez cependant la possibilité de demander un sursis de paiement. Pour vous aider dans votre démarche, découvrez notre modèle de lettre de demande d'exonération de la taxe d'habitation sur les logements vacants. Lire l'article Lettre de demande d'exonération de taxe d'habitation sur logements vacants Comment prouver que le logement est inoccupé ? La vacance d'un bien immobilier n'est pas cadrée et s'analyse au cas par cas. Il en va de même pour l'analyse du niveau d'ameublement du logement. Vous avez donc la possibilité de démontrer l'impossible occupation de ce dernier, et son absence de mobilier à votre administration fiscale, en envoyant par exemple : Des photos récentes du logement ; Des factures liées à la consommation de gaz, d'électricité et d'eau devant impérativement traduire un niveau de consommation trop faible pour permettre une occupation du logement ; Un constat rédigé par un huissier ; Une annonce immobilière de mise en vente ou mise en location. Ces documents doivent être joints à votre lettre de demande d'exonération, que vous devez envoyer à l'attention de votre centre des impôts. Quel est le montant de la taxe d'habitation sur les logements vacants ? Le montant de la taxe d'habitation sur les logements vacants (THLV) est calculé chaque année par l'administration fiscale, et diffère selon les communes. La base d'imposition nécessaire au calcul de cet impôt est la valeur locative cadastrale du logement inoccupé, identique à la valeur celle utilisée pour le calcul de la taxe d'habitation classique, sans aucune soustraction liée à un abattement. À cette base d'imposition s'ajoutent le taux voté par la commune (taux identique à celui appliqué pour la taxe d'habitation classique), et les frais de gestion. Votre THLV est donc calculée de la manière suivante : Taxe d'habitation sur les logements vacants + Frais de gestion + Taxe Gemapi éventuelle + Majoration éventuelle Quand et comment faut-il payer la taxe d'habitation sur les logements vacants ? Bonne nouvelle, car vous n'avez rien à déclarer et recevez généralement votre avis d'imposition début novembre. Vous pouvez également consulter votre avis d'imposition en ligne à partir de la mi-novembre. La date limite de paiement de la THLV est fixée au 15 décembre pour les règlements en espèces, par chèque ou TIP SEPA (titre Interbancaire de paiement). Vous pouvez choisir ces moyens de paiement seulement si le montant de votre imposition est inférieur à 300 euros. Le 20 décembre marque la date butoir pour les paiements en ligne sur le site www.impots.gouv.fr ou depuis l'application mobile Impots.gouv. Une majoration égale à 10% de la taxe due initialement est infligée aux contribuables effectuant leur paiement hors délai. Anthony Mbella Anthony Mbella Modifié le 02/05/22 15:38 Figaro Immobilier GUIDE DE LA FISCALITÉ IMMOBILIÈRE Comment ne pas payer d'impôts sur les revenus locatifs ? Taxe sur la vente d'un terrain constructible Droits de succession 2022 : calcul, montant et abattement 5 cas d'exonération de la plus-value immobilière Comment déduire les intérêts d'un emprunt locatif ? Lettre de demande d'exonération de taxe d'habitation sur logements vacants Quels sont les travaux déductibles des revenus fonciers ? Lettre de demande d'exonération de taxe sur logements vacants Lettre de dégrèvement de taxe d'habitation Taxe d'aménagement 2022 : calcul, date et exonération Déficit foncier : définition, utilisation et report SCI et plus-value : quelle fiscalité pour la vente d'un bien ? Taxe sur les logements vacants : date, montant, exonération Lettre de demande d'exonération de taxe d'habitation Donation en nue-propriété : âge, fiscalité, calcul... Quelle imposition sur la plus-value immobilière ? Quelle imposition pour la plus-value immobilière d'un bien loué ? Comment calculer la plus-value de sa résidence secondaire ? Micro-foncier : définition, abattement et plafond Donation : montant, imposition, conditions... Attestation de propriété et succession : coût et obtention Micro-BIC : définition, abattement et plafond Donation-partage : avec usufruit, conjonctive, cumulative... Régime réel : définition, normal, simplifié... Lettre de rectification de déclaration de revenus fonciers Plus value immobilière : exonération, calcul et fiscalité Exonération de la taxe foncière : qui peut en bénéficier ? Impôts locaux 2022 : date, exonération, calcul... IFI : définition, calcul et seuil d'imposition Extinction d'usufruit : définition, motifs et conséquences Taxe d'habitation 2022 : exonération, locataire, suppression Taxe foncière : jusqu'à 2,1 mensualités supplémentaires pour les emprunteurs L'estimation d'une maison par un notaire pour une succession Testament olographe : valeur, durée de validité et prix Résidence secondaire : définition pour les impôts et fiscalité Contenus sponsorisés Allô Patron, on est Lundi, le catalogue de la semaine est arrivé ! Le Catalogue Lidl "Arrêtez ! Taisez-vous !" : Claire Chazal interloquée par les propos de Luc Ferry dans Passage des arts (VIDEO) Tele-loisirs Céline Dion méconnaissable ; jupe taille basse, crop top et cheveux bruns tout courts Femme-actuelle L'énorme secret de Louis de Funès, révélé des années après sa mort par Michel Galabru Gentside Voyez tout à des kilomètres comme si vous étiez à côté ! Consumer Tech “Elle ne remit plus les pieds chez moi” : pourquoi Brigitte Bardot s’est fâchée avec Romy Schneider Gala Dassault Aviation dévoile des prises de commandes "exceptionnelles" Capital Jean Alesi : l'ancien pilote de Formule 1 a été placé en garde à vue Voici 30 prénoms qui ont été interdits dans le monde Parents par Taboola Voir aussi : Taxe d'habitation Prêt avance rénovation NEWSLETTER Voir un exemple EN CE MOMENT Hausse du taux d'usure Etapes pour demander un prêt immobilier Rafraîchir son logement Installation d'une climatisation Taxe foncière
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Investissement locatif dans le neuf ou dans l’ancien, location en meublé, pierre papier…dans un contexte économique et géopolitique très mouvementé, Philipe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne, fait le point et livre ses conseils « En période d’incertitudes, le placement dans l’immobilier a du sens et rassure » « En période d’incertitudes, le placement dans l’immobilier a du sens et rassure » Sommaire Le contexte de l’inflation et la question centrale du pouvoir d’achat Crédit immobilier : les taux restent bas L’immobilier locatif, le placement privilégié Les principaux leviers pour investir dans l'immobilier Le choix de la pierre papier La vidéo intégrale de l'interview Epargner pour la retraite. A partir de quel âge ? L’immobilier au cœur des transmissions Le contexte de l’inflation et la question centrale du pouvoir d’achat Pour Philippe Crevel, il ne faut pas paniquer. « Ce n’est pas parce qu’il y a une accumulation de mauvaises nouvelles qu’il faut se précipiter, qu’il faut soit vendre, soit acheter. Il faut rester serein. Les fondamentaux restent positifs : la croissance a été très forte en 2021 même si en 2022, elle sera moins élevée. » « La hausse de l’inflation est liée à une période exceptionnelle, atypique, avec la période de crise sanitaire, les plans de relance avec des tensions sur un certain nombre de biens, avec la guerre en Ukraine…Est-ce une inflation de longue durée ou un épiphénomène ? Il faut rester prudent et ne pas penser que l’on va revenir à des inflations de 10 à 12 % comme on l’a connu dans les années 80. » estime le directeur du Cercle de l’Epargne. Devenez hôte cet hiver Devenez hôte cet hiver Cet hiver, les touristes seront nombreux en montagne. Découvrez comment les accueillir au mieux. En savoir plus Sponsorisé par Airbnb Crédit immobilier : les taux restent bas Philippe Crevel est catégorique : « Sur les taux d’intérêt, les niveaux demeurent historiquement bas (1,09 % en moyenne, toutes durées confondues selon le dernier Observatoire Crédit Logement/ CSA). Si les revenus suivent l’inflation, dans ce cas, l’on est gagnant. C’est-à-dire l’opportunité d’acheter un bien avec un emprunt. Le contexte pour l’achat immobilier n’est pas remis en cause. Concernant les banques, elles appliquent des règles prudentielles : la durée du prêt ne doit pas excéder 25 ans, le taux d’endettement maximum est de 33 % du revenu disponible, et l’apport personnel exigé tourne autour de 20 % de la valeur du bien." L’immobilier locatif, le placement privilégié "L’enquête annuelle réalisée par le Cercle de l’Epargne avec l’IFOP traduit l’appétence des Français pour l’immobilier. Deux tiers des Français indiquent clairement que le premier placement, c’est l’immobilier. En seconde position, l’assurance vie puis les actions, le livret A et les crypto monnaies, avec les Bitcoins, très appréciées des plus jeunes. L’immobilier locatif reste la référence." Les principaux leviers pour investir dans l'immobilier "Tout d’abord la résidence principale qui fait partie d’un circuit logique au cours d’une vie. 58 % des Français sont propriétaires de leur résidence principale et quand on pose la question, c’est une immense majorité qui souhaite être propriétaire. Dans le neuf, l’investissement locatif Pinel est l’une des voies à explorer. Il y a d’autres formules intéressantes comme la location en meublé professionnel ou en LMNP (Location en meublé non professionnel) qui permet d’amortir son bien. Il faut faire des calculs fiscaux pour évaluer ce qui est le plus intéressant entre le Pinel qui est soumis à des contraintes de loyers, de prix et le LMNP qui est beaucoup plus souple pour le montant du loyer avec un choix plus simple de ses locataires." "Dans l’ancien, Il y a aussi l’investissement en Denormandie qui fonctionne dans le cadre d’une mise en location, associée à une réhabilitation préalable. Il y a des biens attractifs dans des cœurs de villes. Un bien immobilier est un investissement important qui représente une ou plusieurs centaines de milliers d’euros. Avant d’acheter, Il faut toujours se rendre sur place. En Pinel, il faut être particulièrement attentif à la qualité du programme neuf. La localisation est déterminante. Il faut veiller à la présence de services, de transports à proximité du bien et l’environnement. Le choix de la pierre papier "Quant à la pierre papier, les SCPI (société civile de placement immobilier) avec un rendement supérieur à 4 % en 2021, offrent de belles opportunités. C’est beaucoup mieux que le livret A, l’assurance vie ou les fonds euros. C’est un placement intéressant à la réserve près que ce n’est pas du court terme. C’est un placement de moyen/ long terme pour une raison simple : les frais d’entrée peuvent être importants et peuvent occulter une bonne année de rendement. C’est à conserver 4, 5 ou 6 ans. Là, on peut avoir un placement attractif sous réserve de regarder la nature de la SCPI. Il faut qu’il y ait une diversification, des biens relativement modernes, faciles à louer (c’est le taux d’occupation qui va faire le rendement). D’une façon générale, il faut mesurer son appétence à l’immobilier. Avoir un investissement physique nécessite de gérer des locataires ou faire gérer par un administrateur de biens. Avec les SCPI, il y a des professionnels qui vont gérer à votre place et prendre des frais. La diversification dans le placement immobilier est souhaitable. C’est une source de diminution des risques. " La vidéo intégrale de l'interview Epargner pour la retraite. A partir de quel âge ? "Il n’y a pas d’âge pour épargner. Les jeunes commencent d’ailleurs tôt. 73 % des plus de 18 ans épargnent. Pour acheter un logement, il faut mettre de l’argent de côté. Les prix sont élevés. Sinon, pour préparer sa retraite, il faut commencer aux alentours de 35/40 ans. Mais si un jeune, dès l’âge de 25 ans, met de l’argent de côté pour sa résidence principale, c’est une excellente façon de préparer sa retraite. L’immobilier au cœur des transmissions "Il y a un problème majeur en France, le manque de logements. Les politiques parlent beaucoup actuellement transmission, succession, donation. On est plutôt dans l’idée de diminuer les droits de succession pour une majorité de candidats à l’élection présidentielle. Ils sont d’ailleurs relativement élevés en France par rapport à la moyenne des pays de l’OCDE. Si la mesure est appliquée, ce serait une bonne nouvelle pour ceux qui pourraient en bénéficier. Le logement, l’immobilier, c’est le cœur des transmissions. Cela représente plus des deux tiers des successions. Cette question est importante surtout quand les prix de l’immobilier augmentent. Aujourd’hui, on paye des droits de succession parce que l’immobilier a augmenté. Or, il n’y a pas forcément enrichissement derrière. C’est simplement une valeur de marché."
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Plusieurs paramètres entrent en ligne de compte lorsque vous cherchez un logement. Cependant, le plus important reste de rapidement trouver l’endroit idéal où vous poser, surtout en cas de déménagement. Toutefois, il n’est pas toujours aisé de consacrer suffisamment de temps à visiter des appartements ou à éplucher les petites annonces. Trouver le local de vos rêves s’avère souvent être un parcours difficile lorsque vous ne possédez aucune stratégie. Cependant, en adoptant la bonne approche, vous maximisez vos chances de trouver un nid douillet avec moins de tracasseries. Établir un budget et délimiter une zone de recherche Le paramètre essentiel lorsque vous recherchez un nouveau logement est de maîtriser l’ensemble des dépenses liées à votre projet. Pour établir votre budget, vous devez prendre en compte le loyer mensuel, qui est invariable, mais également tous les frais qui y sont liés. En plus de l’eau et de l’électricité, si ceux-ci ne sont pas compris dans le loyer, considérez les frais de téléphone, d’Internet ou encore le gardiennage. Ainsi que toutes les dépenses annexes. Pour une assistance professionnelle, contactez cette agence pour trouver un logement. À la suite du recensement de toutes les dépenses, déterminer la ville, le quartier et le type de biens immobiliers à votre portée. Vous pouvez circonscrire votre zone de recherche à deux quartiers en tenant compte des éléments qui influencent votre qualité de vie. Solliciter l’expertise d’un agent immobilier Plusieurs raisons peuvent expliquer votre manque de temps pour rechercher un logement. Notamment, les obligations professionnelles. Pour économiser votre énergie et la consacrer à votre travail, faites appel à l’expertise d’un agent immobilier. Sa maîtrise du marché local permet d’accélérer vos recherches. Vous bénéficiez d’une bonne gestion avec cet expert qui vous indique également le meilleur rapport qualité/prix dans les limites de votre budget. Selon votre disponibilité, et il organise les visites.
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Voici le conLes bailleurs propriétaires d’une passoire thermique n’auront bientôt plus le choix : s’ils souhaitent continuer à louer, ils vont devoir mettre la main au portefeuille. Pour rappel, en 2025, la totalité des logements étiquetés G seront bannis du marché locatif. En 2028, ce sera au tour des biens classés F. Ceux appartenant à la classe E viendront grossir les rangs en 2034. Vous l’avez compris, pour cette date, tous les biens à louer devront atteindre la note D. Pour ce faire, il vous faudra très probablement changer de chaudière, isoler les murs… Ces travaux de rénovation ont un coût important, estimé entre 25 000 € et 30 000 €. Pour un T4 ou un T5 avec une mauvaise note énergétique, la note peut être beaucoup plus salée : jusqu’à 50 000 € ! Votre logement n’a pas été rénové depuis plus de 30 ans ? Comptez large pour votre budget rénovation. Ce type de bien est susceptible de contenir des fibres d’amiante. Opération délicate, le désamiantage peut faire grimper la facture de l’ordre de 20 à 25 %. Même si elles ne couvrent pas l’intégralité du coût des travaux, les aides de l’État, comme MaPrimeRénov’ peuvent apporter un sérieux coup de pouce. Ces travaux de rénovation ne concernent pas uniquement les bailleurs. Les propriétaires qui souhaitent vendre leur logement ont également tout intérêt à mettre la main à la pâte, sous peine de devoir céder leur bien à un prix inférieur. Le dispositif Louer Abordable dépoussiéré : une formule plus simple et plus avantageuse « Louer Abordable » fait peau neuve ! Pour rappel, ce dispositif permet au bailleur de bénéficier d’un avantage fiscal s’il loue son logement en dessous des prix du marché. La ministre du Logement a décidé de donner un coup de boost à ce dispositif créé en 2016, qui n’a jamais connu un franc succès. L’objectif ? Inciter les propriétaires à remettre leurs logements vacants sur le marché locatif. Le premier changement concerne l’avantage. Il ne s’agira plus d’un abattement forfaitaire sur les loyers, mais d’une réduction d’impôt de 15 % pour la location d’un bien non meublé en dessous des prix du marché pendant 6 ou 9 ans, et de 35 % si le loyer est inférieur de 30 % aux prix du marché. Vous l’avez compris : plus le loyer est bas par rapport aux prix du marché, plus la réduction d’impôt est importante. Gain estimé : entre 0,5 mois et 2 mois de loyer en net ! Le nouveau dispositif se veut également plus simple, pour faciliter la tâche des bailleurs : le plafond de loyer ne dépendra plus de zones, mais sera fonction des loyers pratiqués dans votre commune, visibles en quelques clics sur une carte interactive. Ces villes où les prix des appartements neufs explosent C’est — toujours — la croix et la bannière pour obtenir de nouveaux permis de construire dans les grandes métropoles ! Pendant ce temps, les stocks d’appartements neufs se réduisent comme peau de chagrin. Perle rare, le bien neuf en vente se négocie à des prix toujours plus élevés. L’ouest de la France détient la palme, avec une augmentation moyenne de 11,3 % sur an à Brest, 11,8 % à Angers, 14,6 % à Caen… et 27,7 % au Mans. À Strasbourg, il faut débourser 6,4 % de plus que l’année dernière à la même période pour devenir propriétaire d’un appartement neuf. La hausse des prix est de 4,9 % à Lyon, 4,4 % à Grenoble, 3,2 % à Toulouse, 1,4 % en Île-de-France et à Bordeaux… Parmi les 26 métropoles étudiées, seules Aix-en-Provence (-0,1 %) et Clermont-Ferrand (-0,2 %) se rapprochent du statu quo. Le Havre est la seule ville à tirer son épingle du jeu avec une baisse des prix des appartements neufs de 3,9 %. Qu’en est-il dans votre ville ? Pour le savoir, découvrez les chiffres du dernier baromètre de la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI). Réforme de la caution : la responsabilité du garant renforcée Pour vous protéger contre les loyers impayés, vous avez peut-être eu recours au système du cautionnement. En cas de défaillance du locataire, vous pouvez vous retourner contre la personne (ou les personnes) qui s’est portée garante pour lui réclamer votre dû. Le 1er janvier 2022, la caution fait peau neuve. Au programme ? La possibilité de dématérialiser les actes de cautionnement. Les documents pourront à partir de cette date être signés électroniquement. Autre nouveauté : la plus grande liberté offerte pour la rédiger. À l’heure actuelle, la caution doit recopier une formule imposée au mot près. Un mot manquant ? Une rature ? Vous pourrez jouer des pieds et des mains obtenir votre dû. Si l’acte de conditionnement n’a pas été rédigé dans les règles de l’art, les cautions de mauvaise foi n’hésitent pas à en profiter pour se libérer de leurs obligations. Bonne nouvelle pour vous : avec cette nouvelle réforme, la personne qui s’est portée caution ne pourra plus prendre la poudre d’escampette. Au 1er janvier 2022, la caution pourra en effet être rédigée en des termes librement choisis. Ces quartiers parisiens qui ont perdu de leur éclat Les prix de l’immobilier dans la capitale n’en finissent pas de chuter : -1,3 % sur 12 mois. Vous aviez prévu d’acheter dans le nord-ouest et le centre de Paris ? C’est le moment de vous lancer. Les quartiers de Ternes dans le 17ème arrondissement, École Militaire dans le 7ème, Saint-Avoye et Enfants-Rouges dans le 3ème enregistrent la plus forte baisse : - 6 % par rapport à l’année dernière. Bel-Air dans le 12ème et le Petit Montrouge dans le 14ème s’en sortent à peine mieux en perdant « seulement » 4 et 4,4 %. Vous rêvez d’un appartement à deux pas des Buttes-Chaumont ? Mauvaise nouvelle ! Le 19ème arrondissement affiche un mètre carré en hausse de 3 à 8 % selon les rues. Mais la palme revient au quartier de Bercy, dans le 12ème arrondissement : +11,8 % en un an. Réforme des APL : un bilan plutôt morose pour les jeunes actifs La réforme des aides personnelles au logement (APL) est loin de ne faire que des heureux ! Ils sont seulement 18 % à se réjouir de ce nouveau mode de calcul qui leur permet de gagner 49 € de plus par mois en moyenne. Le montant versé a été raboté pour près d’un tiers des allocataires au 1er janvier 2021. 400 000 personnes, soit 6,6 %, n’y ont tout simplement plus droit et doivent terminer le mois avec 126 € en moins en moyenne. Ces changements s’expliquent par le nouveau mode de calcul mis en place en 2021. Le montant des allocations n’est plus calculé à partir des revenus N-2, mais sur la base des revenus perçus au cours des douze derniers mois glissants. Alors qu’il était auparavant réactualisé une fois par an, il est réévalué tous les trimestres depuis la réforme. Vous l’avez compris : si vous gagnez davantage durant un trimestre, vos aides seront automatiquement diminuées le trimestre suivant. Les plus touchés sont les jeunes actifs qui, avec le système de calcul précédent, avaient des revenus souvent nuls. Désormais, ils ne savent plus à quelle sauce ils vont être mangés d’un trimestre à l’autre. Calculer le montant des aides devient un vrai casse-tête ! Et ce n’est pas le simulateur de la Cnaf qui va leur simplifier la tâche ! Moins précis, il donne une évaluation « à la grosse louche ». Rénovation énergétique : halte au démarchage abusif Vous en avez assez d’être harcelé au sujet des pompes à chaleur, ballons thermodynamiques et autres panneaux photovoltaïques ? Rappelez à votre interlocuteur que le démarchage téléphonique pour des travaux de rénovation énergétique est légalement interdit depuis le 1er septembre 2020 et raccrochez ! En effet, depuis cette date, les entreprises ne peuvent prospecter qu’auprès des clients avec lesquels elles sont déjà sous contrat. La pratique a beau être proscrite, elle reste très fréquente. L’année passée, 108 des 1 500 sociétés contrôlées étaient en infraction. L’une d’entre elles a d’ailleurs été condamnée à verser une amende de 460 000 euros. Un record qui s’explique par le nombre de ménages sollicités : plusieurs centaines de milliers en seulement deux mois. Un corps sain dans un logement sain ! Pour 8 Français sur 10, le lieu de vie a un impact important sur leur état de forme. Sommeil, niveau de stress, résistance aux maladies… habiter dans un logement sain améliorerait la santé et la qualité de vie. Le Covid-19, et plus particulièrement les confinements à répétition, ont renforcé cette prise de conscience. À l’heure actuelle, le logement est devenu un élément central de la vie des Français. Isolation thermique et phonique performante, présence d’espaces extérieurs, peintures moins polluantes… Ils sont de plus en plus exigeants concernant celui-ci. Ces préoccupations sont encore plus fortes à Paris et en Île-de-France. En atteste le nombre de Parisiens prêts à payer plus cher pour habiter dans un logement sain : 53 % (sur les 2 500 sondés) contre 42 % dans la région du Centre et 43 % dans le Grand Est.tenu de votre actualité !